mercredi 25 novembre 2009

POLLUEUR ALCAN AVEC SON USINE DE BRASQUES FAIT DE NOTRE RÉGION UN DÉPOTTOIR INTERNATIONAL

80 ans de dictature industrielle
BRASQUES..... ALCAN FAIT DE NOTRE RÉGION UN DÉPOTTOIR MONDIAL

En 2000, Environnement Canada a décerné à Jonquière (maintenant Saguenay) le titre peu enviable de ville la plus polluée au pays. Selon le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, elle a le taux de cancer le plus élevé de la province, et c’est là qu’on meurt le plus de maladies respiratoires.

500 000 tonnes de déchets dangereux sont entreposées aux usines Alcan de Jonquière, au Saguenay-Lac-St-Jean, qui correspondent à l’ensemble des activités d’Alcan au Québec depuis plus de vingt ans. 500 000 tonnes, l’équivalent en poids de 10 000 éléphants. Les déchets dangereux dont il s’agit sont des brasques usées, un résidu solide issu de la réfection des cuves d’électrolyse d’alumine contenant du cyanure, de l’ammoniac et du fluorure.

Au Québec, on en produit au bas mot 50 000 tonnes par année. À elle seule, Alcan compte pour environ 50 % de cette production et c’est à Jonquière, « la capitale de l’aluminium », qu’elle la stocke. Jusqu’à maintenant, la multinationale se contentait de ses propres brasques, mais dans un avenir rapproché, Jonquière pourrait accueillir celles des autres alumineries du Québec ainsi que celles des usines d’Alcan du reste du Canada, des États-Unis et peut-être d’Europe.

Dans son mémoire, le Conseil régional du développement durable du Saguenay-Lac-St-Jean (CREDD) note qu’il « est inacceptable de bâtir l’économie régionale sur le traitement des déchets dangereux qui sont produits à l’extérieur de la région. [Et que] la quantité de brasque usée produite aux États-Unis, toutes alumineries confondues, est certainement suffisante pour justifier d’y installer une usine du même type de celle qu’Alcan s’apprête à construire au Saguenay. »

Les brasques usées sont classées comme déchets dangereux dans de nombreux pays en raison de leur toxicité et de leurs propriétés explosives.

Exploité depuis les années 50, ce site accueille les résidus de la production d'aluminium (soude caustique, oxyde de fer, fluor, lithium, etc.). Ce dernier est presque laissé à l'abandon par la compagnie Alcan; mis a part de longs tuyaux faisant près de 9 kilomètres qui relient directement le complexe Alcan d'Arvida au réservoir et qui déverse en permanence sa liqueur toxique. Le lac est à ce point chimique, qu'un homme ne pourrait y survivre bien longtemps (comme l’indique les multiples pancartes d’avertissement, les matières corrosives du lac de boue peuvent entraîner des brûlures graves – voir photos). L'air empeste sur les pourtours de ce gigantesque réservoir de soude caustique et la végétation ravagée donne l'aspect d'un paysage martien.


L'Usine Alcan Vaudreuil d'Arvida, 1er pollueur au Canada
Pollueur-produits toxiques. L'Usine Alcan Vaudreuil où l'on fait le raffinement du bauxite, à Jonquière, au Québec, fut celle rejetant le plus gros montant de produits chimiques désignés toxiques par Environnement Canada, selon la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (LCPE). L'Usine Vaudreuil a évacué 10 163 062 kg de produits toxiques en 2001, y compris plus de 10 millions kg de fluorure de calcium dans un site d'enfouissement sur place. Le fluorure de calcium peut irriter les poumons et causer des changements osseux que l'on appelle la fluorose. L'usine a également évacué 3 236 kg de benzoapyrène cancérogène dans le site d'enfouissement.

Les analyses effectuées par le ministère de l’Environnement sur les eaux du ruisseau La Houde ont révélé des taux de cyanure allant de 0,17 à 1,3 milligrammes par litre. Actuellement, le Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains contaminés, en vigueur depuis mars 2003, prévoit que la concentration en cyanure en milieu industriel ne peut être supérieure à 0,2 mg/l. L’Organisation mondiale de la santé, quant à elle, recommande de ne pas dépasser 0,07 mg/l. Mais, comme le précise Martin Trembaly : « À l’époque, il n’y avait pas de critère. »

Aussi, la brasque est également hydroréactive.
En contact avec de l’eau, elle dégage des gaz - de l’hydrogène, du méthane et de l’ammoniaque - qui peuvent provoquer des déflagrations en milieu confiné. C’est ce qui s’est produit le 19 mars 1990. Le Pollux, un cargo amarré aux installations portuaires d’Alcan à La Baie qui devait transporter un chargement en Arkansas, avait alors explosé causant deux morts. La cathode des cuves d’électrolyse se contamine lors de la production de l’aluminium. Les contaminants étant de l’aluminium sous une forme réduite, des carbures et des nitrures d’aluminium. Au contact de l’eau, ces composés réagissent pour générer de l’hydrogène, du méthane, de l’acétylène et de l’ammoniac. La réaction est rapide et la quantité de gaz produits est suffisante pour créer un risque d’explosion dans un endroit fermé. .

Quel impact les brasques pouvaient avoir sur le réchauffement climatique, car ;e méthane est un gaz à effet de serre ? L’expert en impact environnemental d’Alcan, Clément Brisson, a été incapable de répondre à cette question.

Détrompez-vous, ce lac est très peu connu des gens de la région bien que des véhicules tout-terrains y circulent allégrement. Une véritable loi du silence plane sur l'existence de ce dernier, mais plusieurs en connaissent l'emplacement. Les motoneigistes l’appellent le lac qui ne gèle pas…


Le Saguenay-Lac-Saint-Jean risque de devenir le haut lieu de l’industrie de la décontamination des déchets dangereux au Québec, une filière industrielle peu porteuse pour l’avenir au Saguenay-Lac-Saint-Jean . Le Saguenay-Lac-Saint-Jean est déjà très exposé à la pollution industrielle de la compagnie Alcan.

La compagnie Alcan se sert du contexte économique défavorable dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean pour faire accepter son usine de décontamination des brasques à Jonquière.L’importation de brasques de l’extérieur de la région pour la rentabilisation de l’usine va à l’encontre des principes du développement durable et de la justice environnementale. Elle constitue un facteur de risque supplémentaire pour la contamination du milieu. Il y aura un effet de concentration des polluants. La technologie proposée par Alcan pour son usine de décontamination n’a pas été testée - ou «intég- rée» - à cette échelle, ce qui représente un «risque». L’activité de traitement de brasques a des incidences sur la qualité de l’environnement et constitue une facteur de risques supplémentaire pour la santé de citoyens-nes de la région. La santé de la population est déjà plus problématique dans notre région, qu’ailleurs au Québec (taux de cancers plus élevé, maladie respiratoire).

L’industrie de la dépollution peut nuire à l’implantation et au développement d’autres types d‘industries comme celle du tourisme, de l’agriculture, etc. aussi créateurs d’emplois.

Avec ses 17 O00 tonnes de brasques annuelles, l'Usine Alma est responsable à elle seule de plus de la moitié de la quantité de 25 O00 tonnes de production annuelle, dans la régions du Saguenay-Lac-St-Jean, P.Q. au Canada, principal chiffre avancé par le promoteur. La production de 80 O00 tonnes par année? est justifiée ??? sur une rentabilité économique et un marché nous affirme un représentant d'Alcan. La présence de cette industrie lourde a aussi des conséquences sur la qualité de l’environnement de la région.


La production d’aluminium génère plusieurs types de polluants atmosphériques directement par le procédé ou par les opérations de manutention. Entre autres, le S02 contribue aux pluies acides et a des effets sur les plantes et les animaux. L’aluminium est l’industrie où les émissions atmosphériques de fluorure sont les plus importantes au Canada, avec 75 % des émissions. Ces émissions concernent donc la région, à cause du nombre élevé d’usines. Comme la température est élevée à l’intérieur d’une cuve, lors de la production d’aluminium, une partie des fluorures est émise sous forme de gaz par évaporation des composés fluorés. La famille des hydrocarbures polycycliques aromatiques (HAP) comprend environ une centaine de substances produites lors de la combustion incomplète de matières organiques. Une proportion importante de la population régionale, particulièrement au Saguenay, demeure exposée de façon particulière aux HAP dans l’air ambiant au voisinage de zones industrielles depuis des décennies.

Le traitement de déchets dangereux... les brasques usées.

Dans le secteur concerné de Jonquière, les données de la station d‘échantillonnage sur la qualité de l’air, tenue par le ministère de l’Environnement, montrent des dépassements significatifs sur les particules fine:

«le milieu récepteur est quant à lui déjà problématique au niveau des particules fines avec une concentration de l’ordre de 50 ugh3 sur 24 heures à la station du parc Berthier alors que le critère du ministère de 1 ‘Environnement est de 30 u g h 3 (98‘ per~entile).~

Au regard du contexte environnemental existant, malgré des concentrations relativement faibles, le projet d’usine de brasques viendra tout de même accentué une situation «problématique» et, incidemment, il constitue une pression supplémentaire sur les populations limitrophes.

L’usine proposée par Alcan n’est pas une usine comme les autres. Il s’agit de traiter des résidus issus de la production primaire de l’aluminium, les brasques, classés déchets dangereux. Plusieurs impacts et préoccupations sont associés à une telle activité, tel que discutés plus avant et résumés dans le tableau suivant. Notons que plusieurs préoccupations similaires avaient été exprimées par la population régionale face au projet de Récupère-Sol, certes présenté dans un contexte différent que celui d‘Alcan, mais qui se situe tout de même dans la même filière, celle du traitement de déchets dangereux.

Quand la tolérance aux pollueurs semble être un choix (de contrôle démographique) économique.

Censure dans nos journaux étudiants.
J'ai voulu amener ce genre d'informations dans notre journal étudiant de l'UQAC ''Le Griffonner'' et ont a refusé de me publier, pire encore, on m'a fait passer au conseil de discipline sous un faux prétexte afin de me décourager de diffuser ce genre d'articles.


Or, nous avons appris, une fois la première partie des audiences complétée, que le promoteur n’avait pas tout révélé lors de ces audiences.15 Deux (2) événements auraient dû, selon nous, être communiqués à la Commission par le promoteur au cours de cette partie des audiences afin de donner un éclairage complet, de fournir toute l’information relative au projet soumis pour évaluation et, aussi, pour témoigner de sa bonne foi. À deux reprises, en 1986 et dans le courant des années 1990, on aurait noté des fuites de lixiviat à partir d’une cellule servant à entreposer la brasque usée au Complexe Jonquière. Il en aurait résulté une forte contamination au cyanure du ruisseau Lahoud.

Pas très loin de là, dans la petite municipalité de Larouche, on retrouve également un site d’enfouissement sanitaire de sols contaminés, et dans cette même municipalité, il y a eu pendant quelques années une usine de nettoyage de transformateurs électriques. Cintec, la compagnie qui l’opérait, a résolu de la fermer en 2001, peu après qu’Environnement Canada ait découvert des taux anormalement élevés de BPC chez des rongeurs vivant à proximité de l’usine. Aujourd’hui, Cintec opère une usine semblable au Mexique.



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Déversement de boues rouges dans le Saguenay

Rappel sur l'enquête publique, dont le volet sanitaire a été scandaleusement bâclé par la société ALCAN, qui prévoyait de rejeter les eaux en plein été, mais ne peut plus le faire en juillet et août.

Dans un rapport d'enquête baclé à la va-vite, on y lit : '' aucune analyse n’a été effectuée sur les nitrites; la population en bonne santé exposée est théoriquement hors de danger » Et les enfants, les vieillards, les malades ??? ''


Le ministère de l'Environnement estime à au moins 1,8 million de litres la quantité de boues rouges que Rio Tinto Alcan a laissé échapper de ses installations de Jonquière lors du Vendredi saint d'avril 2007. Cette fuite de produit toxique avait alors coloré le Saguenay sur des kilomètres.

Radio-Canada a pris connaissance de cette information en obtenant une copie du rapport d'enquête grâce à la Loi sur l'accès à l'information.

À ce propos, l'entreprise a plaidé coupable d'avoir enfreint la Loi sur la qualité de l'environnement, ce qui l'a obligée à payer 185 000 $ d'amende en juin. Rio Tinto Alcan n'avait toutefois pas fait connaître la quantité de résidu toxique déversée.

Selon le directeur du contrôle environnemental au ministère de l'Environnement, Daniel Labrecque, le déversement a eu peu d'impact sur la faune et la flore. Le ministère estime toutefois qu'il a duré trop longtemps. Une alarme signalait un pH élevé à l'émissaire concerné à 4 h 30, alors que les vannes ont été fermées seulement à 8 h 20.

« Il s'est passé quatre heures sans que personne de Rio Tinto Alcan puisse aller vérifier à cet endroit-là quelle était l'apparence des eaux rejetées », dit-il.

Le rapport d'enquête souligne également que lors de l'investigation du ministère, Rio Tinto Alcan et ses avocats ont occasionnellement restreint l'accès aux installations, placé des documents sous scellé et limité les questions posées aux témoins.

« Les gens de Rio Tinto et leurs représentants ont fait valoir les droits qu'ils ont en fonction du code de procédure pénale. Ce sont des choses normales dans ces circonstances-là », affirme Daniel Labrecque.

En ce qui a trait à l'autre fuite de boues rouges survenue un an plus tard aux mêmes installations, les circonstances demeurent confidentielles, parce qu'un sous-traitant d'Alcan fait l'objet d'une enquête dans ce dossier.


La société canadienne ALCAN avoue : ''Il pourrait y avoir des malades parmi la population'', c'est écrit NOIR sur BLANC. Notamment, page 42, ALCAN reconnaît la possibilité de risques de dangers pour la santé publique.

Une étude d'impact sérieuse et indépendante aurait dû être diligentée. QUI A LU CE VOLET D'IMPACT SANITAIRE , à part ALCAN et l'ADISL ?

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''C'est la dose qui fait le poison'' vous croyez? Erreur car UN POISON EST TOUJOURS UN POISON, même en infime quantité.

POLLUTION QUE MILITAIRE ET..... POUR AUGMENTER LE TAUX DE MALADIES ET.... TANT QUE DES ÉTATS SERONT EUGÉNISTES

http://nsa28.casimages.com/img/2011/08/22/110822064420316857.gif



Le CO2 (dioxyde de carbone) et le réchauffement climatique

Le CO2 n’est pas un polluant. Cet amalgame entre CO2 et polluant toxique est tellement entretenu par les médias que la confusion est le plus souvent totale.

Le CO2 est le gaz que respirent les arbres, grâce auquel ils se construisent tout en rejetant l’oxygène dans l’air.

C’est le CO2 qui pétille dans les bulles de nos boissons gazeuses.


Le CO2 est un gaz naturel à effet de serre dans le sens qu'il nous protège des rayons du soleil, sans toxicité, et nécessaire à la vie sur terre.


On a donc l'impression que cette Mondialisation du G-8 EUGÉNISTE tente de raréfier la fabrication d'oxygène par une taxe carbone pour diminuer le carbone et par conséquent la végétation et .... Nos dirigeants internationaux sont tellement menteurs et vicieux qu'ils sont capables de tout et on le sait bien

ALCAN CONSOMME EN EAU DOUCE À CHAQUE ANNÉE PLUS QUE CE QUE CONSOMMENT 600 MILLIONS DE GENS.



petits rappels histopriques

voir l'image en taille réelle

Les années1920

Les firmes Ford Angleterre à Manchester puis à Dagenham, Ford Allemagne à Cologne et Ford France à Poissy ont commencé par diffuser des Ford américaines avant de concevoir leurs propres modèles.


Ford Angleterre diffuse des Ford T et A à conduite à droite de 1911 à 1932 alors que Ford Allemagne assemble des Model T en 1925 et des Model A en 1927. L'usine anglaise de Dagenham construit sa première Ford en 1932 ; c'est l'Y 8 ch de 933 cm3 à soupapes latérales. Un an plus tôt, l'usine de Cologne démarrait la construction de la quatre-cylindres B connue plus tard sous le nom de Rheinland.

En France, Henry Ford et Emile Mathis produisent la Ford V8 à Strasbourg sous le nom de Matford en 1934.

En 1935, Ford Amérique construit le moteur Alsace de 22 ch qui équipe les Matford et les Ford anglaises.

En 1939, Ford et Mathis se séparent.


30/07/1938


Henry Ford reçoit la Grande Croix de l'Aigle allemand, distinction nazie. Le fabriquant automobile sera connu pour son soutien au nazisme, 30/07/1938


''JE TRAVAILLE POUR LE VATICAN ET.....''

FAISONS UN PROCÈS PUBLIC CONTRE LES AGISSEMENTS CRIMINELS DE LA REINE ET DE SES BUSH, REAGAN, FORD, , TRUDEAU, MULRONEY, les sénateurs (BENET, BYRD.....), GM, ALCAN...

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Cette photo montre les chefs d'États pions de Londres réunis pour LA FORE INDUSTRIELLE DE LONDRES afin de préparer leurs Guerres Mondiales


FORD ET GM sont des bandits, ils furent mis en place pour installer les moteurs à gaz afin de remplacer les fameux moteurs à vapeurs et à l’eau…. Ils ont toujours su fabriquer des MOTEURS À EAU mais ils concentrent leurs productions mondiales que sur la dépendance aux pétrolières Britanniques....

En 1996, GM lance la EV1, ce qui marquera le début du scandale de plus de 6 ans au sujet de la disparition soudaine de ce modèle entièrement électrique.

Henri Ford et GM, ALCAN... ont joué sur tous les tableaux, fabriquant aux USA des chars pour les alliés et en Europe des véhicules pour les nazis. Les GIs américains qui se battaient en Europe contre les troupes d’Hitler eurent la surprise de découvrir que les militaires allemands conduisaient des camions Ford. S’ils avaient porté leurs regards vers le ciel, ils auraient pu voir voler les avions nazis construits par Opel, une filiale de General Motors (GM). En 1939, les filières allemandes de General Motors et Ford approvisionnaient 70% du marché allemand de voitures. Il faut savoir qu'Henry Ford, comme Prescott Bush (grand-père de Bush) faisait parti du conseil d'administration de BBH (Brown Brothers Harriman, qui prétendait être la plus grande banque d'investissement privée du monde). L’admiration était apparemment réciproque. En juillet 1938, Henry Ford acceptait une médaille du gouvernement allemand, la plus grande récompense qui pouvait être remise à un étranger par les Nazis. Un mois plus tard, James Mooney, un haut dirigeant de GM, recevait également une médaille du gouvernement allemand "pour les grands services rendus au Reich." L’écrivain anglais Charles Higham cite ces paroles de Mooney, en 1940 : "Hitler est dans le vrai, et je ne ferai rien qui puisse le contrarier." A la fin de la guerre, Henry Schneider, un enquêteur de l’armée américaine, qualifiait la filiale allemande de Ford d’"arsenal du nazisme, du moins pour les véhicules militaires". D’après Schneider, ce dispositif avait l’approbation des dirigeants de Ford, aux USA. La reconnaissance des Nazis pour Ford et GM était bien fondée : les camions "Blitz", produits dans une usine construite par GM à Berlin, étaient une composante majeure de la "Blitzkrieg", l’agression allemande contre ses pays voisins : la Pologne, l’URSS et la France. Opel, la filiale allemande de GM, et Ford-Allemagne étaient les deux premiers constructeurs de camions pour les forces militaires allemandes.


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HUMANITÉ

REINE









SOLUTIONS


--- Premièrement, cesser de produire ces déchets


--- Sinon les entreposer dans des lieux clos


--- Les résidus devraient aussi être transportés hors de la région vers les Dirigeants de ces multinationales.


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